棒球之爱1999
地区:韩国
  类型:加拿大
  时间:2025-07-16 12:34:27
剧情简介

棒球After her brother was killed by a notorious all-female pirate gang, Morag dedicates her life to bringing the murderers to justice. Soon, she has become an important member of the pirate gang and has begun acquiring the loyalty of key members. Eventually, she makes her move and challenges the leader, a demi-god (literally), known as "The Daughter of the Sun." The story of Noroit is based on an early 17th-century tragedy by Cyril Tourneur, and, though it is only the third one filmed, the movie is the concluding episode in a four-part series by director Jacques Rivette.“With NOROÎT, Jacques Rivette has joined Federico Fellini as one of the great autobiographical surrealists of the cinema” (John Hughes). Based on the bloody Jacobean play, “The Revenger's Tragedy,” and influenced by samurai films, Fritz Lang, and Samuel Fuller, NOROÎT was shot in a fifteenth-century chateau and a twelfth-century seaside fortress, and stars Geraldine Chaplin as the ghostly Morag, out to avenge the death of her brother who was murdered by a group of women pirates. With its emphasis on ritual, fantasy, and spectacle, “NOROÎT contains the most beautiful images and sounds of any Rivette film” (Jonathan Rosenbaum, Sight & Sound ).

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明星主演
叶启田
一乐
陈黎钟
最新评论(848+)

李春波

发表于2分钟前

回复 :A group of British tunnelers dig underneath no man's land, from the Allied trenches to the German trenches, and set bombs under the German front in hopes of breaking the deadly stalemate of the Battle of Messines.


秦炎仕

发表于2分钟前

回复 :“武汉太危险,最好你不要去”“是不是现在还有很多隐瞒的感染者?”我的日本朋友对武汉有很多偏见。我是作为住在中国的外国人,作为纪录片的导演,特别想去拍武汉,想给全世界介绍真实的武汉。于是我在微博上募集了可以接受我们拍摄的武汉人,然后一百多个人报名了,最后我们选择了十个人的故事。希望通过这部作品让更多的人了解现在的武汉。——摘自导演微博


藤井隆

发表于5分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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