老子传奇
地区:韩国
  类型:卡通
  时间:2025-07-15 20:06:10
剧情简介

纪录片《14 颗苹果》展现了在全球化的时代中,传奇佛教超越人道主义理想的力量。王兴洪长期受失眠的困扰。他的母亲去找算命先生寻求建议,传奇算命先生让王兴洪短期出家 14 天,且每天要吃一个苹果。王兴洪来到缅甸中部的一所乡村寺院,剃光头发,穿上红色僧袍,成了一名真正的和尚。在欢迎仪式中,尽管当地妇女衣着朴素、房屋简陋,却竭尽所能装满王兴洪的钵盂。在王兴洪为当地村民做顾问的短短几天里,他发现村民不惜一切办法活下去,甚至选择去中国、泰国和马来西亚当合法或非法移民。他也了解到其他僧人挣钱、补贴收入的方法。

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明星主演
张惠妹
方梓媛
柳影虹
最新评论(376+)

江口洋介

发表于8分钟前

回复 :1980年,一个去菲律宾夜总会卖唱的歌女让一个当地老板包了几天就能赚三五万美金。


李允宰

发表于3分钟前

回复 :Four seedy criminal outcasts risk their lives in pursuit of redemption, both legal and moral, by driving unreliable trucks stocked with nitroglycerine through dangerous landscape to cap an oil well fire in a Central American banana republic. Featuring a trance-like score by Tangerine Dream and a visceral, astonishing performance by Roy Scheider, Friedkin's reinterpretation of Clouzot’s 1953 masterpiece is perhaps the best remake of all time and is among Friedkin’s most daring works. Three sequences alone –a chaotic car crash in Boston, the unloading of charred bodies in a Central American village, and the explosives laden trucks crossing a rickety storm-blown bridge – render Sorcerer a classic and retain their power to make audiences gasp. Released the same year as Star Wars, Friedkin's audacious masterpiece represents the braver road abandoned by the studio system.


许逸婷

发表于8分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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